SO! Podcast #66: Listening In with Sounding Out! (feat. Marlen Rios)

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Join host James Tlsty in the second installment of his podcast miniseries–“Listening In with Sounding Out!” In this miniseries Tlsty and co-host Shauna Bahssin dig deep into the archives of Sounding Out! and interview authors to get a sense of what they were thinking as they wrote their essays. In this episode Tlsty and Bahssin interview one of our favorite contributors, Marlen Rios.

James Tlsty is a Junior studying English and Philosophy, Politics and Law (PPL) at Binghamton University. James draws from literature and philosophy for pragmatic applications in social policy and activism. James is an active champion of the arts, as evidenced by his work with on-campus art initiative OPEN, a hybrid art gallery and open mic. He is also the resident Pop Music Department Director and an E-Board member at WHRW, where he is a registered radio engineer and programmer.

Shauna Bahssin is a junior double-majoring in English and art history. She currently serves as the managing editor for Binghamton University’s student newspaper, Pipe Dream, after maintaining the position of copy desk chief for three semesters. Outside of the paper, she helps supervise student fundraising initiatives through the Binghamton Telefund, and she hopes to work within the field of arts advancement after she graduates.

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Appel : La responsabilité sociétale des organisations et des entreprises en Afrique francophone

Le Sahel

Projet d’un ouvrage collectif sous la direction de Victorine Ghislaine NZINO MUNONGO, chercheuse au Ministère de la Recherche Scientifique et de l’Innovation, Cameroun, Martial JEUGUE DOUNGUE, PhD, Chercheur-Enseignant, L. Christelle BELPORO, Université de Montréal, Québec, Canada et Hermann NANAN LEKOGMO, PhD, Université Catholique d’Afrique Centrale (UCAC-APDHAC)

Parution prévue : décembre 2018

Argumentaire

Considérant, d’une part, le village global actuel en construction dans lequel sont appelées à interagir plusieurs parties prenantes vers la concrétisation d’un destin commun et, d’autre part, le souci de préservation des ressources locales, il émerge la nécessité d’une implémentation plus concrète du principe d’intégration. Les Objectifs de développement durable (ODD) furent ainsi adoptés avec comme objectif, d’ici 2030, d’éliminer la pauvreté sous toutes ses formes par la promotion d’une industrialisation durable qui profite à tous et encourage l’innovation et la recherche et d’encourager les grandes entreprises et les sociétés transnationales à adopter et intégrer des pratiques viables. La visée essentielle des objectifs fixés est la création d’emplois, l’augmentation de la richesse locale par le Produit intérieur brut (PIB) et une utilisation plus rationnelle des ressources par l’usage de technologies et procédés industriels propres, socialement inclusifs et respectueux de l’environnement.

Le contexte économique actuel en Afrique subsaharienne est confronté à plusieurs défis :

  1. Une explosion démographique estimée à 1,1 milliards d’habitants avec une projection de 2,4 milliards en 2050[1], ce qui représente un tiers de la population mondiale. Par ailleurs, 60% de la population africaine a moins de 35 ans[2] et est constituée de jeunes avides de biens et de consommation.
  2. Une urbanisation qui se fait à grande vitesse en termes d’occupation d’espace par les populations : les statistiques font mention de 472 millions d’habitants vivant en zone urbaine et le double de ce chiffre d’ici les vingt-cinq prochaines années[3]. Ces chiffres dénotent l’existence d’une concentration graduelle non négligeable de la demande et l’offre des biens et services en zone urbaine et partant une économie croissante dont les prévisions sont fixées à 2,6% en 2017[4]. Selon la Banque mondiale, cette croissance est ralentie par le déficit des infrastructures, ce qui a pour impact de limiter la productivité des entreprises jusqu’à 40%[5].
  3. Un manque assez flagrant d’infrastructures. Il y a par conséquent un besoin vital d’investir massivement pour la construction des espaces viables pouvant accueillir cette population croissante et répondre aux attentes des entreprises. Toutefois, la facture de ces opérations sera sans doute assez salée. Selon les experts financiers, le besoin d’investissements dans la construction des infrastructures en Afrique s’évaluent à la hauteur de 93 milliards de Dollars par an[6]. Dans un environnement où 43 % de la population totale vit en dessous du seuil de pauvreté[7], l’enjeu est non seulement celui de poser les jalons d’une économie dite inclusive mais également un système de production, de vente et de consommation qui respecte la dignité humaine tout en préservant l’environnement. D’où la référence faite à la Responsabilité Sociétale des Entreprises/Organisations.

Selon Bambara et ses collègues, la Responsabilité sociale des organisations (RSO) s’appréhende comme étant la « responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement transparent et éthique qui contribue au développement durable y compris à la santé des personnes et au bien-être de la société, prend en compte les attentes des parties prenantes, respecte les lois en vigueur et est compatible avec les normes internationales et est intégré dans l’ensemble de l’organisation et mis en œuvre dans ses relations »[8]. Par ailleurs, selon l’Organisation internationale du travail (OIT), la Responsabilité sociétale des entreprises/organisations (RSE) traduit «… la façon dont les entreprises prennent en considération les effets de leurs activités sur la société et affirment leurs principes et leurs valeurs tant dans l’application de leurs méthodes et procédés internes que dans leurs relations avec d’autres acteurs »[9]. La définition énoncée par l’OIT aborde l’approche sociologique de la RSE qui présente ce concept « …comme une question de régulation sociale faisant intervenir, derrière l’institution que constitue l’entreprise, des acteurs sociaux en conflit »[10]. Désormais, comme le diraient Mc William et Siegel, il est question de considérer la RSE « … comme des actions permettant d’améliorer le bien-être social au-delà des intérêts de la firme et de ce qui est requis par la loi»[11]. Cette présentation du concept énonce de manière globale l’enjeu de l’insertion d’une RSE/RSO au sein d’une société.

L’encadrement juridico-politique de la RSE/RSO en Afrique est un véritable défi. Si la perception qu’ont les États de cet outil est nuancée, il en est de même de sa perception par les entreprises. Les outils de gestion et de mise en place d’une RSE/RSO dans les pays et les entreprises d’Afrique méritent d’être analysés afin de comprendre et de traduire la portée de la RSE/RSO en Afrique subsaharienne. Malgré le caractère innovateur du concept occidental qu’est la RSE/RSO en Afrique et l’appréhension changeante de ce dernier en fonction des réalités sociales, il existe des approches d’implémentation qui positionnent les entreprises en acteurs ayant pour responsabilité de contribuer à l’éradication de la pauvreté.

Cet ouvrage a pour objectif d’aborder les réponses offertes par la RSE/RSO en Afrique subsaharienne sous le prisme des différents défis auxquels cette dernière est confrontée. Nous souhaitons mieux comprendre les échanges d’influence existant entre ce concept et l’environnement africain subsaharien, autrement dit, analyser l’apport de la RSE/RSO en milieu africain subsaharien et en retour, les mutations subies par ce concept du fait de son adaptation à son milieu d’implantation.

Cet ouvrage s’adressera aux parties prenantes que sont les administrations publiques et parapubliques, le secteur privé, les institutions académiques et professionnelles, la société civile, etc.

Les contributions attendues doivent concerner prioritairement l’un des aspects suivants :

  1. RSE/RSO et Objectifs de développement durable, horizon 2030 en Afrique subsaharienne;
  2. RSE/RSO et lutte contre la pauvreté dans les pays subsahariens ;
  3. RSE/RSO dans le secteur forestier en Afrique subsaharienne;
  4. Industrialisation, technologie propre et croissance économique dans les pays subsahariens ;
  5. Industrialisation durable, recherche et innovation dans les pays subsahariens ;
  6. Grandes entreprises, sociétés transnationales et les Droits de l’Homme;
  7. La politique de la production durable dans les PMI/PME en Afrique subsaharienne ;
  8. Protection des moyens de substances et de la production basique face aux crises écologiques au Cameroun ; etc.

Les chapitres seront évalués selon la méthode ouverte croisée des Éditions science et bien commun (entre auteurs et auteures du livre, avec publication d’un résumé des évaluations).

Processus de création du livre

Ce projet de livre est ouvert à tous et toutes, dans un état d’esprit qui rejette toute perspective de compétition ou d’exclusion. Au contraire, la visée de justice cognitive de ce livre nous amène à vouloir l’ouvrir à tous les savoirs et à toutes les épistémologies, pour autant que cela nous aide à comprendre son objet. Nous travaillerons donc avec tous les auteurs et auteures qui veulent participer à cette aventure pour améliorer leur proposition ou leur texte afin que ce livre devienne une ressource précieuse.

Sur le plan des consignes d’écriture, il est tout à fait possible d’inclure des photos ou d’autres images. Il est également possible de proposer, en guise de chapitre, la transcription d’une entrevue ou d’un témoignage ou encore une vidéo pour la version en ligne, si cela permet à des savoirs d’entrer dans notre livre. Par contre, afin de maximiser l’accessibilité et l’utilisation du livre, nous demandons de restreindre l’usage de tout jargon spécialisé.

La circulation de cet appel dans toutes les universités africaines est cruciale pour respecter la visée de justice cognitive et de circulation régionale de l’information.

À noter que la rédaction de ces chapitres est bénévole et ne sera pas rémunérée. La gratification des auteurs et auteures sera de voir leur chapitre circuler et être utilisé au service du bien commun de l’Afrique.

Les auteures et auteurs participant au livre seront invités à échanger tout au long du processus d’écriture et d’édition dans un groupe Facebook ou WhatsApp, afin de partager des idées, des références et des premières versions, dans l’esprit d’entraide et de collaboration qui est promu par la justice cognitive.

Calendrier

  • Mars 2018 : Lancement de l’appel
  • 30 juin 2018 : Date limite pour envoyer une proposition (un résumé de quelques phrases) ou un chapitre
  • 31 juillet 2018 : Réponse aux propositions et réception des chapitres jusqu’au 31 octobre 2018.
  • Décembre 2018 : Publication d’une version complète en ligne et impression d’exemplaires sur demande.

Pour participer

Dès que possible, envoyez un message à l’adresse propositions@editionscienceetbiencommun.org avec votre biographie (en quelques lignes), les coordonnées complètes de votre institution ou de votre association et un résumé du chapitre (ou des chapitres) que vous souhaitez proposer. Ce résumé consiste à présenter en quelques phrases le contenu du texte que vous souhaitez proposer, en l’associant, dans la mesure du possible, à une des thématiques proposées.

Les valeurs et le projet éditorial des Éditions science et bien commun

Merci de les lire attentivement sur cette page.

Les consignes d’écriture sont sur cette page.

Notes

[1]Croissance démographique, http://www.unesco.org/new/fr/africa-department/priority-africa/operational-strategy/demographic-growth/. (Consulté le 11/08/2017).

[2] Idem.

[3]  Rapport sur l’urbanisation en Afrique : pour soutenir la croissance il faut améliorer la vie des habitants et des entreprises dans les villes, http://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2017/02/09/world-bank-report-improving-conditions-for-people-and-businesses-in-africas-cities-is-key-to-growth. (Consulté le 15/08/2017).

Cf. Félix Zogning,Ahmadou Aly Mbaye,Marie-Thérèse Um-Ngouem, L’économie informelle, l’entrepreneuriat et l’emploi, Editions JFD, 2017 p.81.

[4] http://www.banquemondiale.org/fr/region/afr/overview. (Consulté le 11/08/2017).

[5] Le nécessaire développement des infrastructures pour une croissance plus inclusive en Afrique, https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-164856-le-necessaire-developpement-des-infrastructures-pour-une-croissance-plus-inclusive-en-afrique-2056658.php. (Consulté le 11/08/2017).

[6] Idem.

[7] Toujours plus de personnes pauvres en Afrique malgré les progrès réalisés en matière d’éducation et de santé, http://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2015/10/16/africa-gains-in-health-education-but-numbers-of-poor-grow. (Consulté le 11/08/2017).

[8] M. BAMBARA et A. SENE, « L’évolution de la responsabilité sociétale de l’entreprise à la faveur du développement durable: vers une juridicisation de la RSE »  in Revue Africaine du Droit de l’Environnement, nᵒ 00, 2012, p.100.

[9]L’OIT et la responsabilité sociale de l’entreprise, Helpdesk du BIT N◦1,  http://www.ilo.org/wcmsp5/groups/public/—ed_emp/—emp_ent/—multi/documents/publication/wcms_142693.pdf (consulté le 12/02/2015).

[10] Emmanuelle Champion et al., Les représentations de la responsabilité sociale des entreprises : un éclairage sociologique, Les cahiers de la Chaire de responsabilité sociale et développement durable ESG-UQÀM – collection recherche No 05-2005, p.4.

[11] MacWilliams, A. & Siegel, D., cité par Marianne Rubinstein, « Le développement de la responsabilité sociale de l’entreprise », Revue d’économie industrielle [En ligne], 113 | 1er trimestre 2006, mis en ligne le 21 avril 2008, consulté le 18 janvier 2015. URL :http://rei.revues.org/295.

 

Limn has a new website!

Limn finally has a new website! Please check it out: explore all our issues, our new list of Limn researchers, and take a look at our new downloadable PDFs of Limn’s print mag!

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Website under construction

Welcome to Limn’s new website.  Please explore while we update everything and work out some kinks… grand opening announcements to come!

Vacature: onderzoeksmedewerker bij INC

De Hogeschool van Amsterdam (HvA) is voor FDMCI, het lectoraat Netwerkcultuur (Institute of Network Cultures), onderdeel van het Kenniscentrum (CREATE-IT), per 1 juni 2018 op zoek naar

onderzoeksmedewerker (0,8 fte)

De Faculteit Digitale Media en Creatieve Industrie (FDMCI) is onderdeel van de Hogeschool van Amsterdam en telt ruim 6.600 studenten en 425 medewerkers. De faculteit, met een sterke crossmediale, mode en ICT­-focus, is ambitieus en wil op alle fronten kwaliteit uitdragen.

De functie

Als onderzoeksmedewerker werk je samen met de lector en onderzoekers aan de opzet, uitvoering en administratie van verschillende projecten van het lectoraat. De lopende projecten van het lectoraat hebben te maken met alternatieve verdienmodellen, digitaal uitgeven en kunstkritiek. Je ontwikkelt en produceert bijeenkomsten, workshops en andere activiteiten rondom het onderzoek. Je werkt ook mee aan het realiseren van de publicaties van het lectoraat, zowel online als op papier. Een belangrijk deel van je werk bestaat uit het contact leggen met en onderhouden van netwerken van onderzoekers, kunstenaars, activisten, programmeurs, en docenten en studenten. Daarnaast denk je mee over nieuw op te zetten projecten en werk je aan de uitwerking daarvan in projectplannen, fondsaanvragen en begrotingen.

Naast de coördinerende en inhoudelijke taken draagt de onderzoeksmedewerker zorg voor een goede communicatieve en administratieve begeleiding van de projecten. Je verzorgt de communicatie rondom activiteiten van het lectoraat, zoals het schrijven van persberichten en nieuwsbrieven, het onderhouden van social media en het up-to-date houden van het blog van het lectoraat. Daarnaast onderhoud je contacten met interne en externe relaties. Ten slotte zorg je voor een goede documentatie van de activiteiten en de resultaten van de projecten, ten behoeve van kennisopbouw en -verspreiding.

Wij zoeken

Een veelzijdige collega met belangstelling voor de culturele, maatschappelijke en academische ontwikkelingen in de nieuwe media en netwerk­cultuur. Je bent organisatorisch sterk en hebt ervaring met de productie van bijvoorbeeld (internationale) symposia, tentoonstellingen, workshops of andere publieksprogramma’s. Bij voorkeur heb je ervaring met het schrijven van projectvoorstellen en subsidieaanvragen. Je houdt van netwerken en staat graag in contact met verschillende soorten mensen op allerlei niveaus. Je kunt overweg met verschillende communicatiemethoden zoals bloggen, sociale media, nieuwsbrieven en het benaderen van de pers. Je bent flexibel, proactief, enthousiast en ondernemend en werkt goed samen in een klein team. Je beheerst Nederlands en Engels op hoog niveau en beschikt over minimaal bachelor werk-­ en denkniveau. Ten slotte heb je affiniteit met een complexe onderwijs-­ en onderzoeksomgeving zoals de Hogeschool van Amsterdam.

De afdeling

Het Instituut voor Netwerkcultuur (INC) maakt onderdeel uit van het Kenniscentrum Create-­IT. Tot de werkzaamheden van het lectoraat behoren onderzoek, het organiseren van theoretisch onderwijs en het ontwikkelen en uitvoeren van een programma van seminars, conferenties, evenementen en publicaties ten behoeve van kennisontwikkeling en kennisoverdracht. Het lectoraat bestaat uit een team van vijf medewerkers. Daarnaast werkt het lectoraat regelmatig met (internationale) stagiair(e)s en gastonderzoekers.

Create-­IT Applied Research is het kenniscentrum van de faculteit. Studenten en onderzoekers werken samen in uitdagende projecten op het gebied van media, mode en IT. Het centrum wordt gekenmerkt door een ondernemende instelling en multidisciplinaire aanpak. Het onderzoek vindt zoveel mogelijk plaats binnen de bedrijven en instellingen waarmee samengewerkt wordt, maar er zijn ook verschillende labs, waar nieuwe technologieën onderzocht worden en waar studenten (afstudeer)opdrachten uitvoeren.

Wij bieden

Het betreft in eerste instantie een dienstverband voor een jaar. De werkzaamheden maken deel uit van de organieke functie Onderwijs- en onderzoeksmedewerker 2. De bij deze functie behorende loonschaal is 9 (cao hbo). Het salaris bedraagt maximaal € 3635,- bruto per maand bij een volledige aanstelling en is afhankelijk van opleiding en ervaring. De HvA kent een uitgebreid pakket aan secundaire arbeidsvoorwaarden, waaronder een ruime vakantieregeling en een 13e maand.

Informatie

Nadere informatie per e-mail aan Miriam Rasch: vacatures@hva.nl (niet gebruiken om te solliciteren).

Kijk voor meer informatie over het lectoraat op http://networkcultures.org en over Create­IT op: http://www.hva.nl/create-it

Sollicitaties

Klik hier om online te solliciteren. Sollicitaties die rechtstreeks naar de contactpersoon of op een andere wijze worden verstuurd, worden niet verwerkt.

Bij de werving en selectie ter invulling van deze vacature, houden wij de HvA Sollicitatiecode aan.
Acquisitie naar aanleiding van deze advertentie wordt niet op prijs gesteld.

El Caracol: A Stroll through Space and Time in Mexico City

A sound art multimedia piece by Anthony William Rasmussen

Funded by the UC MEXUS Dissertation Research Grant

Map graphics by Julie K. Wesp

Additional Footage by Oswaldo Mejía

The megalopolis of Mexico City is experienced by many who live there as a network of “known” places, laden with both personal memory and collective meaning. Sounds provide inhabitants with a powerful means of navigation: the unique calls of street vendors, song fragments, speech, and protest chants echolocate the listener within a vast spatiotemporal grid. The title of this piece (“the snail/the shell”) refers to the prolific spiral motif in Mesoamerican cosmology and alludes to a nonlinear vision of time and space.

El Caracol, Sounding Board Installation, 2015, Image by Leo Cardoso

The piece consists of four journeys, each beginning at the outskirts of the city and ending in or near the Zócalo—Mexico City’s central plaza and the symbolic heart of the nation. The video element consists of footage captured while walking through various sites in Mexico City and represents the phenomenological present. The audio element provides a counterpoint to the visual: sounds meander and drift from the visual field; occasional ruptures of historical sound expose layers of this audible palimpsest.

Sounding Out! is thrilled to host a virtual installation of “El Caracol” right here, right now:

Featured Image: Screen Capture from El Caracol

Anthony W. Rasmussen is a musician, educator, and postdoctoral fellow at Universidad Nacional Autónoma de México. Currently, he is investigating the transformation of whistles from a rural system of long-distance communication to an aesthetic/symbolic practice in Mexico City. In 2017, he completed a PhD in ethnomusicology from UC Riverside with a dissertation on sound culture and urban conflict, “Resistance Resounds: Hearing Power in Mexico City.” His work can be found in Ethnomusicology ForumAnthony also holds an MFA from UC Irvine where he studied Persian classical music, music composition, and interactive arts technology. He has composed for film, a range of traditional and experimental ensembles, and is singer/songwriter for the pop group, The Fantastic Toes.

tape reelREWIND!…If you liked this post, check out:

Standing Up, For Jose–Installation Piece by Mandie O’Connell

SO! Amplifies: Sounding Board Curated by Leonardo Cardoso-Jay Loomis

SO! Podcast EPISODE 24: The Raitt Street Chronicles: A Survivor’s History–Sharon Sekhon

Voices at Work: Listening to and for Elsewhere at Public Gatherings in Toronto, Canada (at So-called 150)–Gabriela Jimenez

detritus 1 & 2 and V.F(i)n_1&2 : The Sounds and Images of Postnational Violence in Mexico–Luz María Sánchez